La flottille Thousand Madleens to Gaza est une action de solidarité internationale envers le peuple palestinien.

Thousand Madleens to Gaza est un mouvement populaire et citoyen de solidarité entre les peuples travaillent ensemble pour mettre fin au blocus illégal de Gaza par Israël.

Ce mouvement s’est lancé en quelques semaines après le retour de la Madleen avec une idée claire : ils peuvent arrêter un bateau, mais ne pourront stopper une flottille nombreuse, internationale et déterminée. Peuples unis, nous sommes capables de faire basculer le rapport de force.

En quelques mois, des dizaines de groupes locaux ont fleuri partout en France, ainsi qu’une dizaine de délégations nationales comme la nôtre, qui ont permis de lever plusieurs centaines de milliers d’euros pour envoyer une première flottille avec le Freedom Flotilla Coalition, composée de 9 bateaux et 143 personnes à bord, en octobre 2025.

Nous construisons des liens forts avec nos camarades en Palestine et à Gaza, et nous leurs avons fait une promesse : envoyer des flottilles jusqu’à ce que la Palestine soit libre et son peuple en capacité d’être auto-déterminé.

C’est pour cela que nous préparons une nouvelle vague historique !

nos objectifs

Nous naviguons pour briser le siège illégal d'Israël sur Gaza et pour défier les alliés d'Israël qui permettent, financent ou tirent profit de l'occupation de Gaza et de la Palestine au sens large, y compris les frontières de la Palestine et les eaux territoriales de Gaza.

Nous faisons partie d'un mouvement d'action directe plus large qui s'oppose aux crimes d'Israël, tout en dénonçant les gouvernements et les systèmes internationaux qui permettent l'oppression coloniale et le régime d'apartheid génocidaire d'Israël en Palestine.

Notre objectif n'est pas de remplacer le travail des ONG humanitaires : nous collaborons avec les communautés de Gaza afin de soutenir au mieux la souveraineté palestinienne et leur droit de décider de leur propre territoire et de leurs ressources.

En l'absence d'action gouvernementale et institutionnelle, nous poursuivons nos efforts en tant que flottille civile par le biais d'actions directes non violentes afin de soutenir la lutte palestinienne pour l'autodétermination, la liberté de mouvement, le droit au retour, la souveraineté durable, la libération et la liberté, du fleuve à la mer.

les organisations partenaires
ou que nous soutenons en Palestine

nos regards doivent êtres rivés vers la palestine

La colonisation sioniste de la Palestine n'est pas nouvelle. Après la publication de la déclaration Balfour par la Grande-Bretagne en 1917, des groupes paramilitaires proclamés terroristes ont commencé à se former - des colons européens armés ont agressé et tué des Palestinien.nes pendant des décennies, ainsi que des soldats britanniques pour les forcer à partir. Les Britanniques se sont retirés de Palestine à la fin des années 1940, provoquant la Nakba - la création de l'État d'Israël.

Les forces sionistes ont expulsé environ 80 % de la population palestinienne de ses foyers, agressé et massacré des milliers de Palestiniens et détruit des centaines de villages. Cette impunité a ouvert la voie à l'apartheid, au génocide, au vol de terres et à la brutalité d'Israël à Gaza, en Cisjordanie et dans toute la région, comme nous le voyons aujourd'hui.

Après deux ans de bombardements incessants, de famine délibérée et de génocide des Palestiniens à Gaza, environ 58 % du territoire de Gaza a été annexé par Israël et 60 % de la Cisjordanie est sous occupation israélienne totale.

Selon l'ONU, les colons ont attaqué les Palestiniens près de 3 000 fois en Cisjordanie au cours des deux dernières années seulement, tuant des Palestinien.nes, assommant des femmes à coups de matraque, enlevant des enfants, détruisant des terres, déracinant des oliviers et agressant des journalistes et des ambulanciers.

Depuis le soi-disant « cessez-le-feu », le génocide perpétré par Israël à Gaza se poursuit. Mais le projet d'Israël ne s'arrête pas aux frontières palestiniennes. Israël redessine les frontières et attaque ses voisins : le Liban, la Syrie, le Yémen et même l'Iran, sans parler de ses activités extractiviste dans des pays comme le Congo, ou du développement mondial de son industrie de surveillance.

nous devons dénoncer et stopper la participation active de nos états dans le génocide en cours en Palestine

En France, la reconnaissance de l’Etat de Palestine par notre gouvernement doit s’accompagner d’actes ! Aujourd’hui encore, notre gouvernement laisse des entreprises françaises comme Thalès fabriquer et exporter des composante d’armes à destination d’Israël. Notre gouvernement est alors COMPLICE DE CRIMES DE GUERRE en n’interdisant pas les exportations.

LA FRANCE ET L’EUROPE FINANCENT, SANS LE DIRE, L’INDUSTRIE MILITAIRE ISRAÉLIENNE.
Dernier exemple en date, un projet de développement de drones militaires financé par l’Europe et sept gouvernements européens, dont la France, qui a obtenu en mai 2024, un financement de 42 millions d’euros d’argent public. Problème : une partie des fonds bénéficie à Israel Aerospace Industries, une entreprise public d’armement israélienne.

Quatre banques françaises, BNP Paribas, le groupe Banque Populaire – Caisse d’Épargne, la Société Générale et le Crédit Agricole, figurent parmi les dix institutions financières européennes qui ont investi le plus dans des entreprises impliquées dans les colonies illégales et dans l’armement d’Israël.

Partout, bloquons l’industrie de l’armement et les exportations d’armes, dénonçons la continuité des relations diplomatiques entre la France et Israël et boycottons les marques participant au génocide en cours en Palestine.

Sources à consulter pour en savoir plus : Enquêtes “Secret défense” de Disclose, BDS France.